(09h39)
Pour être capable de dire au revoir ... il faut savoir oser. Oser sauter à pieds joints vers l’inconnu. Oser reconnaître que le confort peut devenir inconfortable. Oser s’écouter et prendre des décisions qui sembleront parfois illogiques pour l’entourage.
(05h00)
Un petit bijou de phrase que j’entends souvent lorsque je tente de contrôler mon envie de poutine ou autres aliments du genre... Mange-la ta poutine, t’es pas grosse anyway!Combien doit-on peser pour « avoir le droit » de changer ses frites d’accompagnement pour une salade ?
(09h35)
Comme la rentrée scolaire débute avec un congé pédagogique pour la plupart, j’avais envie de discuter vacances ! Ben quoi?Lundi prochain ce sera congé férié. J’y vois une occasion en or de choisir une petite destination, vraiment toute petite, entre deux courriels, pour le week-end...
(05h00)
« Les jeunes ne veulent plus travailler ! Ça va être beau sur le marché du travail tantôt ! En tout cas, nous autres dans notre temps... on n’aurait jamais fait ça comme ça. » J’ai tellement entendu ce genre de phrases souvent.
(05h00)
Le plus savoureux de l’été, c’est de se permettre de flâner sans horaire
ni contrainte. Prendre un verre (ou deux) en plein milieu de
l’après-midi au soleil et se partager des tapas sur une élégante
terrasse me semble être une belle définition du bonheur. Cette
proposition estivale alléchante est signée, l’Auguste.
(11h25)
Combien de fois je peux dire ça dans une semaine... Excuse-moi, j’ai manqué de temps pour te lâcher un coup de fil, j’ai manqué de temps pour l’entraînement (qui m’aide à réduire mes tensions quotidiennes), j’ai manqué de temps pour aller souper avec des amis si précieux....
(09h41)
Vous connaissez la fameuse règle des trois « R » : Respire. Reste calme. Relaxe. (Bon, ok je viens juste de l’inventer... mais ces mots si simples sont d’une utilité désarmante dans la tourmente de nos émotions.) Si vous continuez de lire ceci, sachez que je vais récidiver ; c’est à vos risques et péril !
(05h00)
Goûter le Mexique, non pas sous le soleil du Sud, mais plutôt sur la rue
Alexandre; c’est l’invitante proposition du El Tabernaco, celle qui fait
jaser depuis deux ans dans les Cantons-de-l’Est. L’avez-vous essayé ?
(05h00)
Arriver à la maison après une journée de travail (jusque-là tout va bien) et déverser le contenu de sa rude journée au creux de l’oreille attentive de son/sa confident(e)... l’avez-vous déjà fait ? Si j’ai un mea culpa à faire, c’est celui-ci ! Ça m’est arrivé ré-gu-li-ère-ment.
(05h00)
À l’ère où courir est presqu’aussi populaire qu’aller faire son épicerie le dimanche après-midi, c’est plutôt surprenant de lire une phrase comme celle-ci. Je suis juste d’avis qu’avant de suivre une tendance, il faut connaître ses limites, ses capacités et ses envies.
(05h00)
Passer du temps de qualité entre amis, autour d’un repas bien accordé avec le vin (c’est important la bonne entente) et qui occasionne un congé de vaisselle en prime... c’est difficile de ne pas aimer passer du temps au resto !
(05h00)
On excuse souvent les mauvais chemins empruntés par certains parce qu’ils « l’ont eu tough ». Je suis consciente que certains débutent avec deux balles deux prises, mais j’ai de la difficulté à concevoir que ça justifie de s’asseoir sur ses lauriers.
(05h00)
Sois prudent(e) ! Deux mots prononcés chaque fois que je prends la route. Deux mots judicieusement choisis que j’ai souvent pris à la légère, voire trouvés quétaines à une certaine époque. C’est vrai, que pouvait-il m’arriver de «siii grave» ?
(05h00)
Elle soulève les passions et s’immisce dans plusieurs discussions. Elle est très expressive et parfois difficile à suivre, voire entêtée. Quoi que nous disions, on ne peut la faire changer d’idée. C’est la raison pour laquelle chialer contre Dame Nature n’a jamais donné de bien grands résultats.
(10h25)
« On ne peut pas avoir confiance en elle ! Ta mère, c’est une salope... Ton père, c’est le plus grand menteur et manipulateur de son espèce, ... » Il faut l’avouer, ils sont créatifs les «séparés» en crise.
(05h00)
« T’es pas ben... va te faire soigner... » Une phrase banale, lancée sans grande réflexion, va se percuter avec éclat sur le tympan de celui qui souffre en silence. Une phrase qui lui fera ravaler sa salive parce qu’il s’était convaincu de parler cette fois, de laisser sortir sa douleur...
(05h00)
« Come on, juste un petit verre » Avouez que vous l’avez entendu (ou peut-être même prononcé) souvent lorsque la sobriété était votre choix de soirée... Ou encore « ça reste entre nous là, même si tu déroges une fois... personne ne le saura ».
(09h38)
À main levée, qui a déjà traversé des chemins sinueux remplis d’embuches et d’imprévus ? Ces routes qui vous ont donné du fil à retordre, mais qui vous ont rendus fiers de les avoir parcourues.
(05h00)
C’est prouvé, plusieurs thèses de doctorat ont été faites sur le sujet. Le célibat est un concept péjoratif qui mérite d’être jugé et pointé du doigt. Entre avoir la lèpre et être célibataire... le choix est facile à prendre ; la lèpre est beaucoup moins honteuse ! (rires)
(05h00)
Imaginez tout laisser derrière-vous ; la maison, le travail, la routine... vraiment tout sauf votre conjoint(e)... et vos chiens ! C’est ce qu’a fait Amélie Boulet afin de bâtir son Plan bonheur !
(05h00)
Cette nuit sombre de décembre s’installe doucement dans les rues silencieuses de Sherbrooke. Seul le centre-ville semble vibrer au son de la musique et des fêtards qui s’improvisent choristes sans gêne dans la rue. Pourquoi pas ?
(05h00)
Pensez à cette habitude réconfortante que vous avez chaque matin dont la résultante chatouille les narines d’agréables odeurs. Tant que l’on n’a pas entendu ses premiers ronronnements, la journée n’est jamais réellement commencée. Vous avez sans doute deviné, je parle ici du fameux café.
(05h00)
La beauté d’un spectacle, c’est qu’il n’en existe pas deux semblables et que personne ne le ressent de la même façon. Des émotions fusent de toutes parts, se heurtent à d’autres, se multiplient, se refoulent, s’évacuent...
(05h00)
Stop. Avant de lire ces quelques lignes, je vous suggère de laisser vos jugements de côté, aussi petits soient-ils. D’aussi loin que je me souvienne, je me suis toujours sentie différente. Je ne faisais jamais les choses « normalement ».
(10h12)
Une brise fraîche nous chatouillait ce dimanche matin-là pour nous rappeler de profiter de ce spectacle coloré d’automne d’une durée limitée. Cette dernière rappelait à notre corps, parcouru de frissons, que de se plaindre aurait été plus que déplacé devant ces survivantes qui elles n’ont pas froid... aux yeux.
(05h00)
Pour une 11e édition avait lieu samedi la Collation des grades de l’UdeS, que j’ai eu l’occasion d’animer. Au moment d’écrire ces lignes, je me sens comme ces nouveaux diplômés, un peu effrayée devant l’inconnu, mais surtout excitée de commencer un nouveau chapitre, une nouvelle chronique.
Isabelle Perron
Vous m’avez peut-être déjà entendue à la radio, au Palais des sports lors des matchs du Phoenix de Sherbrooke, ou encore vue à la télé lors de certains bulletins météo à TVA Sherbrooke. Disons que je carbure aux communications. La preuve : il m’arrive de parler dans mon sommeil.
Baie-Comoise d'origine et Estrienne d'adoption depuis quatre ans, je marche des milliers de pas par jour à la recherche d'une expérience, d'une histoire, d'une rencontre ... que je vous partagerai dans ma chronique Dans les souliers d'Isabelle. Espadrilles, escarpins, talons hauts, bottillons... il y a de la variété au menu.