(05h00)
Selon les générations et les époques durant lesquelles les humain.es ont vécu, l’érotisme a changé de formes. Les formes ont également changé selon la définition de l’érotisme. Un élément demeure : l’érotisme est essentiel à une sexualité saine, mais surtout, c’est un pont vers l’émancipation et le partage de rapports consentants. Le consentement n’est pas une notion de go-gauche, elle n’est pas non plus une notion discutable. L’érotisme ne devrait pas l’être non plus.
(05h00)
J’ai été récemment déçu.e par l’absence de réactions quand j’ai dénoncé des violences vécues au sein d’un milieu féministe. On s’entend, des violences vécues par une personne en particulier, une femme prétendant être féministe. On m’a dit de fermer ma gueule. Bien sûr, je l’ouvre donc.
(09h00)
Je ne suis pas ce stéréotype que tu aimerais rencontrer. Je ne suis pas cette femme lesbienne qui performe dans l’un de tes films, mais je ne suis pas non plus cette classique lesbienne masculine qui fume la clope en jasant philosophie et politique.
(05h00)
Déjà, j’aimerais mentionner que bien que cet article soit destiné aux personnes alliées, il leur est destiné pour la survie des personnes LGBTQ+, pas pour leur propre survie.
(10h56)
Jasons-en! Ce qui se passe dans ma chambre à coucher, ce n’est pas de tes affaires, mais si et comment je veux en parler, ça l’est encore moins. C’est tout de même étrange parce qu’on observe un double discours à ce niveau.
(05h00)
Pourquoi discuter de sexualité est si tabou dans la société? Comment
en est-on venu à hyper sexualiser les annonces télévisées, les
publicités de magazines, les costumes de scènes des artistes et les
vidéos de musique sans toutefois être capable d’aborder le sujet de
façon directe, saine et réciproque?
(13h19)
Un projet qui vise à s’assurer que les jeunes estriennes et estriennes aient accès à une éducation sexuelle de qualité vient de prendre officiellement forme cette semaine.
(05h00)
Dans les mouvements sociaux, tout particulièrement les mouvements féministes qui ont pour objectif de tendre vers une égalité des genres et se penche donc fréquemment sur la définition mouvante de genre.
(10h35)
Cette semaine, j’ai eu la chance de discuter avec Nathan Choinière, homme queer de 18 ans ayant vécu de la discrimination sur la base de son identité de genre de la part de son ancien directeur d’école.
(10h02)
S’afficher publiquement comme personne LGBTQ+ a ses grands avantages et ses failles. Encore à ce jour, je n’ai aucune idée si j’ai fait le bon choix en m’affichant. Je suis confiante que ça me permettra de faire des changements de société nécessaires.
(05h00)
il est clair que la disposition géographique et l’organisation du territoire dans lequel nous voulons organiser des projets et créer des lieux LGBTQ+ influence grandement les possibilités d’action et l’impact sur la clientèle LGBTQ+.
(05h00)
Plusieurs initiatives sherbrookoises et estriennes mériteraient d’être mises de l’avant et peuvent soulever de réelles préoccupations ou besoins de personnes LGBTQ+. Quand je pense à ce genre d’initiatives, je pense entres autres à l’initiative de Camille Allard...
(05h00)
Pourquoi discuter de sexualité est si tabou dans la société? Comment en est-on venu à hyper sexualiser les annonces télévisées, les publicités de magazines, les costumes de scènes des artistes et les vidéos de musique sans toutefois être capable d’aborder le sujet de façon directe, saine et réciproque?
(05h00)
Tout d’abord, démystifions ensemble ce que signifie le mot «queer», la pertinence d’un espace «queer» et inclusif et en quoi cela consiste exactement. Être « queer », ça peut être défini de plusieurs façons selon les contextes dans lesquels ce mot est utilisé, mais on identifie principalement deux définitions à ce mot.
(11h14)
Est-ce que l’orientation sexuelle et l’identité de genres relèvent de la sphère privée ou publique? Devrions-nous nous exprimer dans les médias ou faire comme les personnes hétérosexuelles et se contenter de naître comme seule manifestation de notre existence?
Sarah Beaudoin
Voulant mettre l’action politique et le changement social au centre de ma vie, je me suis lancée comme conseillère en communication, afin de militer à temps plein et de combler les heures restantes par des contrats de communication respectant mes valeurs les plus profondes.
Avec un baccalauréat en psychologie en poche et cumulant plus de 5 ans d’expérience condensée dans les sphères politique et sociale, je milite à tous les jours comme féministe queer, alliée de plusieurs luttes, en organisant des événements de sensibilisation, en créant des court-métrages sur des thématiques afin de briser des tabous existants, en rédigeant des articles sous forme de témoignage et en m’impliquant activement au sein de partis et d’instances politiques.
Je désire, par le biais de mes chroniques, vous exposer ma propre réalité de femme queer estrienne pour démarrer une discussion et vous motiver à prendre des actions concrètes pour des causes qui vous tiennent à cœur.