C'est en émettant le souhait de poursuivre le travail déjà accompli qu'Etienne-Alexis Boucher, candidat du Parti Québécois dans la circonscription de Richmond, a fait connaître sa vision pour la MRC des Sources.
Sujet incontournable pour l'avenir de la MRC, M. Boucher veut continuer à travailler avec la Table de diversification économique de la MRC des Sources. En tant que conseiller politique du Dr Réjean Hébert, ministre responsable de la région de l'Estrie, Etienne-Alexis Boucher a été un membre actif de la Table de diversification. Il veut ainsi poursuivre la collaboration avec les acteurs de la région pour assurer l'aboutissement des différents dossiers en cours.
« C'est simple : depuis les 30 dernières années, aucun gouvernement n'a déployé autant d'efforts que le Parti Québécois pour soutenir la diversification économique de la MRC des Sources. Et les résultats sont au rendez-vous : seulement en 2013, c'est plus de 130 emplois qui ont été créés et consolidés dans la MRC des Sources grâce à des investissements de près de 2,4 M $. Cela, sans compter l'investissement récent de 2,25 M$ accordé à l'entreprise Alliance Magnésium, un projet qui, à terme, pourrait générer 350 emplois et des investissements de 500 M$. La première année du Fonds de diversification économique a donc connu un bilan très positif », de rappeler le candidat du Parti Québécois.
Évidemment, ces actions sont encore loin d'être suffisantes pour assurer une santé et une relance économiques à long terme. « C'est pourquoi je m'engage à tout mettre en oeuvre pour que les projets structurants qui sont à l'étude voient le jour le plus rapidement possible. Évidemment, les initiatives économique du Parti Québécois telles que la création de la Banque de développement économique du Québec, la Politique industrielle ou la Stratégie d'électrification des transports permettront de générer de nouveaux projets en appuyant les entrepreneurs locaux de même qu'en attirant de nouvelles entreprises dans la région. Que ce soit dans le secteur manufacturier, celui de la transformation alimentaire ou encore dans le secteur touristique, le potentiel de la MRC des Sources est immense. C'est pourquoi les résidents de la MRC sont en droit d'exiger plus de résultats concrets dans les plus brefs délais », de mentionner M. Boucher.
Rappelons que c'est en novembre 2012 que le gouvernement du Parti Québécois annonçait l'octroi d'une enveloppe de 50 M$ au Fonds de diversification économique de la MRC des Sources.
Enfin, M. Boucher souhaite que les jeunes soient au coeur des préoccupations du milieu : « L'une des stratégies de la diversification est d'offrir de la formation et de sensibiliser les jeunes à l'entrepreneuriat et au développement local. Plusieurs initiatives sont en cours pour attirer de la main-d'oeuvre en région, dont les projets Coup de Coeur Estrie et Inode Estrie. La MRC des Sources ne doit pas être oubliée : j'en fais l'une de mes priorités ».
Soutenir les agriculteurs de la MRC des Sources
Pour Etienne-Alexis Boucher, le déploiement de la Politique de souveraineté alimentaire est un élément incontournable de la revitalisation du monde agricole de la MRC des Sources. De même, le Plan de développement de la zone agricole (PDZA) est un projet qui doit être soutenu et mis de l'avant par le milieu.« En 9 ans de gouvernance libérale, le monde agricole n'a fait que s'appauvrir. C'est pourquoi un coup de barre se devait d'être donné, ce qu'a fait le Parti Québécois. Aussi, dans les Sources, mes dernières rencontres avec les acteurs du milieu agricole local et régional, l'importance de soutenir les PDZA est l'un des points qui ont clairement été identifiés comme cruciaux pour le développement régional. Je ne peux qu'être en accord avec cette préoccupation du milieu. C'est pourquoi je veux soutenir le Plan de développement de la zone agricole de la MRC, qui contiendra les pistes d'actions émises par les producteurs des Sources lors des états généraux sur l'agriculture du 14 mars dernier. Le PDZA est un excellent levier pour relever les défis en lien notamment avec la relève agricole, l'occupation du territoire, et la mise en marché », de conclure M. Boucher.
