Bien que ce mode alimentaire existe depuis une vingtaine d'années, on entend de plus en plus parler de ce terme, très tendance en 2018. Le flexitarisme peut être vu comme le juste milieu entre deux extrêmes, le végétalisme et le carnivore. Son principe directeur est donc de manger moins de viande rouge et de poisson sans pour autant y renoncer.
Jusqu'à maintenant, plusieurs s'y reconnaîtront, dont moi-même. Le flexitarisme ne prend pas seulement en compte la nutrition, puisqu'il préconise des aliments de qualité et respectueux de l'environnement. Tout est fait dans une vision de qualité, plutôt que dans la surabondance.
Voici quelques principes du flexitarisme :
Aucun interdit
Viser la qualité dans vos aliments, mais rien n'est interdit.
Moins de viandes et de poisson
La variété est encouragée. L'idéal est de maximiser l'apport en légumes et fruits frais et de consommer plus de protéines végétales pour diminuer la consommation de viandes rouges et de poisson à 1 à 2 fois par semaine. N'est-ce pas un beau principe pour une alimentation saine!
À l'état le plus naturel possible
Voilà un de mes principes de base pour mon alimentation personnelle. En plus de consommer le moins de produits transformés possible, donc à l'état naturel, le flexitarisme incite à manger bio sous le principe que si vous consommez des aliments issus d'agriculture intensive dépourvue de nutriments, vous pourrez varier davantage et consommer moins tout en obtenant plus de nutriments.
Alors pour ceux qui veulent faire une transition vers le végétarisme ou ceux qui veulent améliorer leur alimentation sans pour autant bannir les produits animaux, voici un régime alimentaire plein de sens.