Le Baseball à La Cage
« Hey Luigi! Les Jays jouent ce soir! Tu viens regarder le match avec moi à la Cage? » Voici une des phrases que j'ai prononcé très souvent cette saison! Simplement à changer le prénom de match en match. Et ce n'est pas parce que c'est pénible de passer du temps avec « Luig », mon collègue d'ÉNERGIE, loin de là. C'est juste que dans la vie d'un nouveau papa, des vendredi soirs de libre, y'en a plus beaucoup en circulation! Et je n'invitais pas Luigi à la « Cage Aux Sports », oh que non! Il était invité à la toute nouvelle Cage Brasserie Sportive! Ouais. Le nouveau « branding » est arrivé dans les Cantons. Quand Jean Bédard a annoncé le « face lift » de la Cage et son association avec Louis-François Marcotte, je savais que les amateurs de sports et de p'tites saucisses dans la pâte en sortiraient gagnants!
Même si le changement s'opère lentement (mais sûrement), l'ambiance, elle, est bien là. Plus de 2 350 000 télés (j'exagère à peine!) qui te montrent Russell Martin et sa barbe en gros plan, du popcorn gratis, pis un gars aussi fan que toi, prêt à s'asseoir trois heures dans un établissement vêtu en joueur de baseball en lâchant un cri de mort quand Kevin Pillar plonge pour attraper une balle impossible; voilà une scène bien fréquente à la Cage!
Matelas Houde fête ses 80 ans
Je ne pensais pas avoir autant de fun dans un magasin de matelas... Bon ok, ce sont toujours bien que des matelas. On est bien loin de la sensation du saut en parachute, mais quand même. On minimise l'importance d'être confortable au lit.
Cette semaine, j'étais de passage chez Matelas Houde pour préparer une promo radio pour le 80e anniversaire de l'entreprise. En discutant avec le directeur marketing, Serge Gélinas, j'ai vraiment réalisé l'impact qu'un matelas peut avoir sur notre vie. Penses-y. Si t'es un être humain normal, tu dors entre 7 et 8 heures par jour (ne s'applique pas à un «morning man» de radio qui aime la vie sociale et les sorties et qui entend son cadran sonner à 3h30!).
Donc, dormir, c'est 35% de ta journée. C'est énorme. Je ne suis pas en train de vous vendre un matelas... je dis juste que j'ai rencontré des passionnés, des gens d'ici. Ça fait 80 ans que l'héritage d'Alfred Houde se transmet. L'entreprise a maintenant pignon sur rue à l'un des coins les plus hot de #SherbyLove; coin King et Jacques Cartier, dans la Cité du Parc!
80 ans en affaires, ça en fait en tabarouette des matelas! Une étude parue récemment expliquait que Sherbrooke est la 5e meilleure ville canadienne pour se partir en affaires. J'ose le croire.
Le Kapzak quitte Sherbrooke!
Dommage comme nouvelle; Jason Kapzak, propriétaire du Kapzak, quitte Sherbrooke. Le restaurant polonais de la Well Sud déménage pour se rapprocher du Zoo de Granby. La dernière soirée d'opération du Kapzak sera samedi prochain, le 29 octobre. J'ai eu la chance et le privilège de côtoyer Jason dans plusieurs évènements de bouffe de Sherbrooke. C'est un sapré bon gars, un chef hautement talentueux qui adorait cuisiner pour ses clients.
C'est une mésentente avec le propriétaire de la bâtisse sur la hausse des frais de loyer qui aura eu raison du meilleur restaurant polonais de l'Estrie. Dommage. Un autre entrepreneur à succès qui quitte la Well Sud. Si vous profitez des derniers moments du Kapzak pour aller manger là-bas, je crois que Jason et son équipe vont vous gâter pas rien qu'un peu d'ici samedi!
Les passionnés de golf, comme moi!
Ça prend des amoureux du golf pour s'occuper d'un golf. Les clubs de golf qui ne sont que des endroits pour que des « messieurs » se rencontrent entre «messieurs» pour jouer entre « messieurs », pis prendre un brandy entre « messieurs » au 19e, vont tous disparaître, et bientôt. L'Industrie du golf est en perte de vitesse. Pas à peu près. La relance de ce merveilleux sport va passer par l'implication et le mélange des genres. Les vieux, les jeunes, les hommes, les femmes, les habiles, les pas habiles pantoute; tout le monde doit se sentir chez soi sur un terrain de golf. Tout le monde doit avoir du plaisir. Tout ça, on le retrouve entre autres au Club de Golf Longchamp.
Y'a un gars là-bas qui s'appelle Marc Viens. Un pro, qui roule sa bosse dans le domaine depuis belle lurette. Il aime le golf, c'est indescriptible. Il aime le golf comme Garfield aime dormir. Depuis son arrivée dans le paysage à Longchamp, comme pro et coactionnaire, le paysage a mauditement changé. Ils ont ajouté un certain Marc-Étienne Buissières, un dynamique professionnel en pleine ascension sur le tour canadien et à l'international.
Les évènements, les tournois, la qualité de l'accueil et la convivialité du 19eme trou ont vraiment permis au Club de Golf de Longchamp de se démarquer cette année. Les rénovations ont changé de beaucoup l'allure du premier neuf. Le trou numéro 5 est désormais l'une des normales 5 les plus attrayantes des Cantons. Un club a beau être bien beau, s'il est mal géré, il va mourir, et ce dans un court laps de temps. Il n'y a pas assez de mains sur un quatuor de golf pour compter sur tous les doigts les magnifiques journées que j'ai passées là-bas!
Même chose pour mes partenaires de jeu. Si vous croisez Mike, Chantal, Claude, Josée, Karl, Luc, Nico ou Hugues, tous vous diront la même chose; Longchamp, cet été, c'était wow!
Pour le moment, je serre mes bâtons, mais dès le mois d'avril, je regarderai souvent par la fenêtre en me demandant : « C'est quand que ça ouvre donc Longchamp? »