(05h00)
La peur d’être blessé s’immisce dans chaque parcelle de votre corps, mais c’est plus fort que vous, vous donnez une deuxième chance. Vous ignorez cette frayeur et vous suivez les traces de l’espoir.
(05h00)
Aujourd’hui, je vous invite à vous découvrir davantage. Répondez à chacune des questions dans ce texte. Qui sait, peut-être que cette petite piste de réflexion aura plus de valeur que vous ne le pensiez...
(05h00)
D’un rapport humain à un glissement de doigt sur un appareil électronique, l’amour n’est plus ce qu’il était. D’un « x » dans la case « veux-tu être ma petite amie ? » à une photo nue, notre perception de l’amour aveuglée par la peur d’être seul nous possède.
(05h00)
Pour certains, l’âge de 18 ans rime avec l’âge légal pour boire de l’alcool, pour acheter des billets de loterie, pour se faire tatouer ou même pour voyager seul, sans fiche de consentement. Mais pour d’autres, comme moi, 18 ans rime avec le droit d’aller voter.
(05h00)
Pour débuter la série « Top 5 », j’ai décidé d’aborder un mouvement qui me tient profondément à cœur ; celui de la positivité corporelle. Bien que ce genre de tendances est souvent éphémère, je crois qu’en 2018, on arrive enfin à quelque chose de plus fondé.
(05h00)
Comme je termine mon adolescence et que j’arrive au seuil de la vie adulte, je voulais vous lancer une opportunité de nous comprendre davantage, nous, la génération Z.
(09h37)
Comme Don Bosco disait : « Lakay mwen se lakay ou ». En d’autres mots, pour le commun des mortels, « ma maison c’est ta maison ». Ayiti avec un grand A. Vous pensez peut-être que mon orthographe est erronée, mais c’est vous qui avez tord.
(05h00)
Tout cela arrive seulement aux autres. Vraiment? C’est bien plus près de notre réalité que ce qu’on pense. Toi, jeune fille qu’importe ce que tu portes, ce n’est pas de ta faute. Ça ne devrait jamais être de ta faute. Le respect devrait être universel.
(09h46)
Toute bonne chose a une fin, c’est bien vrai ! Que ce soit pour la magnifique saison hivernale qui s’étire ou pour l’année scolaire, la fin est imminente. Ce point que j’écrirai à la fin de la phrase qui racontait mon secondaire mettra non seulement un terme à mes années d’adolescente, mais symbolisera l’ouverture vers un nouveau chemin.
(10h26)
C’est avec brio que l’Orchestre symphonique de Sherbrooke (OSS) et son maestro Stéphane Laforest ont su conquérir le cœur et les papilles gustatives des quelque 1400 spectateurs, samedi dernier.
(05h00)
Que pensez-vous de quelque chose de plus personnel pour l’article cette semaine ? En fait, je vous propose de vous ouvrir la porte à mon univers et à celui des femmes qui m’inspirent quotidiennement. Quoi de mieux pour célébrer la Journée internationale des droits de la femme?
(12h59)
Être Québécois ce n’est pas une question de racines ou bien de liens sanguins, c’est une question de principes. Tu peux être un Québécois et être natif d’un pays étranger, à l’inverse, être né dans cette famille qu’est le Québec, mais ne pas te considérer comme un membre à part entière.
(05h00)
J’ai eu la chance d’explorer la profondeur d’une maturité que je croyais éphémère, mais qui perdure et qui personnifie chacune de mes réflexions. Vingt-quatre heures de silence et de ressourcement, c’est ce qui m’a été nécessaire...
(05h00)
2017, une année haute en émotion et en absurdités. D’abord, pour commencer en force, à l’apogée des plaisanteries, les États-Unis ont décidé de faire de leur pays un endroit meilleur en buvant les mots d’un politicien à points de vue excessifs. «Make America Great Again!» Vraiment?
(05h00)
Ne trouvez-vous pas absurde qu’à dix-sept ans, nous devons faire un choix décisif en ce qui concerne la plus longue partie de notre vie ? Ce choix représente notre carrière, bref, ce qui nous animera pour le restant de nos jours et ce qui nous caractérisera en tant que personne.
Sarah-Eve Desruisseaux
Et oui, encore moi, Sarah-Ève! La nouvelle saison d’écriture pour Estrieplus.com est un nouveau défi pour moi. Je sors du cadre d’adolescente et je vous fais part de mes découvertes. Ceci dit, je suis toujours étudiante, mais dans un tout nouveau milieu et dans une toute nouvelle ville. J’amorce mon année tardivement avec de grands changements. Bien que je semble être en quête d’innovation cette année, je suis toujours la même ! Épicurienne à mes heures et amoureuse de la liberté d’opinion, je vous reviens dans le même optique de partage de connaissances, d’opinions et de découvertes.
Ne vous méprenez pas, je ne me prendrai pas au sérieux ici, mon but : avoir du plaisir et vous en faire bénéficier. Étudiante en arts visuels et en sciences humaines au Cégep de Trois-Rivières, je conserve un amour profond pour ma ville natale qui, au-delà de mes 17 ans, m’a permis de m’épanouir. C’est pourquoi je demeure impliquée avec ce journal en ligne, qui me permet de me rattacher à mes racines.
Je nous lance un défi cette année, tentons d’échanger afin de réellement mettre à profit cette notion de partage. Sur ce, bonne lecture !