Dans un article publié ce matin à la page 7 du quotidien montréalais La Presse, article repris http://www.cyberpresse.ca/arts/medias/201107/04/01-4414774-rue-frontenac-le-nouvel-acquereur-brise-le-silence.php dans la Cyberpresse sous le titre de « Rue Frontenac: le nouvel acquéreur brise le silence », une importante erreur de fait a été commise.
Citant Marcel Boisvert, l'actionnaire actuel de Rue Frontenac, la journaliste Catherine Handfield écrit : « Dans les jours qui ont suivi le 17 juin, j'ai participé à un montage financier avec l'aide d'un expert sur ces questions (Michel Strecko), a écrit Marcel Boisvert dans sa lettre ouverte. »
Or dans cette lettre publiée hier http://www.estrieplus.com/contenu-0404040431333535-15391.html sur le portail Estrie Plus, le nom de Michel Strecko n'apparaît pas. Et pour cause. « L'expert qui m'a aidé au montage financier n'est pas monsieur Strecko, a soutenu Marcel Boisvert. Il s'agit plutôt d'un professionnel associé aux institutions financières du Québec, une personne dont c'est le métier et dont le nom n'a pas à être lancé ce matin dans les réseaux sociaux. »
En ce qui a trait à Michel Strecko, c'est un conseiller professionnel qui a été embauché pour une tâche bien précise avec un mandat circonscrit dans le temps. « J'avais besoin d'un expert pour naviguer dans les méandres de la loi sur les faillites, a poursuivi M. Boisvert, et Michel Strecko est un nom qui allait de soi. Sa réputation dans ce domaine est très bien établie dans le milieu des affaires et c'est grâce à lui que la faillite a pu être retardée de 45 jours.»
Une demande formelle de rectification des faits a été envoyée plus tôt à La Presse. « En attendant, certains usagers des réseaux sociaux font leurs choux gras de cette « coquille » et j'avoue que par les temps qui courent, je pourrais m'en passer ! »
Marcel Boisvert, actionnaire de Rue Frontenac, mb@fastoz.com