Vous connaissez l'Orford Bleu Club? NON ??? Oh là là! Vous ratez quelques choses, il vous faut remédier à cela. L'Orford Bleu Club est une magnifique salle de spectacles située, vous l'aurez deviné, à Orford mais plus précisément dans l'hôtel du Parc à Orford, au 1259 chemin de la Montagne. La salle peut accueillir 120 personnes et offrir des spectacles dansant, oui oui dansant. Le public est invité à danser durant les prestations des différents artistes qui s'y produisent.
Plusieurs thématiques de spectacles sont offertes afin de satisfaire tous les goûts du public. Que ce soit un spectacle country, un autre ayant pour thème l'amour, une thématique Noël, car oui l'hiver nous reviendra, et un spectacle Crooner. Peu importe le thème ou les artistes en résidence à l'Orford Bleu Club (Ghislain Viens, Vicky Lévesque, Priscillia Quirion, Martin Grégoire et Claude Lefebvre), ceux-ci vous proposent certes d'écouter leurs chansons, mais aussi de danser avec eux et entre vous.
La salle peut aussi accueillir les groupes. Si vous organisez des sorties et que vous avez entre 50 et 100 personnes, il est possible de vous accommoder pour une date de spectacle, de jour ou en soirée, il suffit de vous informer via le site internet.
Le prochain spectacle à l'affiche est celui de notre Crooner. Le 17 août prochain à 20h, Ghislain Viens et son pianiste Claude Lefebvre vous invitent à plonger dans les années 50 et 60, à vous imprégner l'instant d'une soirée d'une ambiance feutrée et à vous laisser charmer tout en douceur. Au son et au rythme des pièces de Frank Sinatra, Dean martin, Tony Bennett et bien d'autres, l'Orford Bleu Club prendra des allures de Club des années 50 où musique sur scène rimait avec danse dans la salle.
Réservez vite vos places car elles partent vite.
Au lesbprods.com/ sous l'onglet Billetterie
J'espère vous y croiser.
Dans une prochaine chronique je vous parlerai plus en détails de l'Orford Bleu Club. Je vous raconterai comment cette salle de spectacle d'hôtel est devenue un organisme sans but lucratif.
À bientôt,
Isabelle Simoneau