Dans le cadre des spectacles gratuit du jeudi au OMG Resto, EstriePlus présente tous les mardis une entrevue avec l'artiste qui montra sur la scène de l'ancienne église le jeudi suivant. Cette semaine, EstriePlus pose six questions à Brian Tyler.
Brian Tyler, le grand public vous a davantage connu grâce à La Voix, votre carrière musicale a-t-elle complètement changée depuis votre passage à cette populaire émission?
«Maintenant, je vis de la musique et je parcours le Québec et l'ouest de l'Ontario pour présenter mon spectacle haut en couleur et à saveur de blues avec mon band Brian Tyler and the Bluestorm.»
Vous vous êtes découvert un talent de chanteur plutôt sur le tard. Parlez-nous de votre parcours musical?
«J'ai commencé à chanter dans une soirée de karaoké à l' âge de 35 ans et je me suis découvert une passion que je ne connaissais pas à cette époque. Dans ma quête pour découvrir la musique et connaitre le style qui me convenait le plus, j'ai chanté avec de nombreux artistes, tels que le Baby Boomers Band, le Bud Rock and roll band, le Jukevox Band A cappella, The Pride Band, le Kix Party Band, les Rock and Rollers, le Brian and the Rock and Soul band, et maintenant j'ai mon groupe principal le Brian Tyler and the Bluestorm. J'ai eu le privilège de partager la scène avec Marjo, Breen Leboeuf, Nanette Workman, Bob Walsh, Kim Richardson et plusieurs autres artistes reconnus de la scène québécoise. »
D'où vient cette grande passion pour la musique, particulièrement le blues?
«Après avoir chanté du blues avec mon ami Carl Tremblay pour la première fois, je suis devenu un mordu à vie de cette musique. »
À quoi peut-on s'attendre comme spectacle ce jeudi?
«À une soirée de blues avec un B majuscule, à des chansons des plus grands bluesmen qui ont marqué le monde musical et à des compositions originales signées Brian Tyler and the Bluestorm.»
Quel est votre plus grand rêve (ou objectif) professionnel?
«Faire revivre le blues au Québec. »
Avez-vous une confession à faire qui surprendrait votre public?
«Je vais peut-être en décevoir quelques- uns, mais je suis désolé des bluesmen ça ne se confessent jamais(rire). »